Je Commence Déjà À Être Las Toutes Les Stupidités Qui Seront Dites À L'occasion Ce Livre - Cor
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Je Commence Déjà À Être Las De Toutes Les Stupidités Qui Seront Dites À L'occasion De Ce Livre - Cor (1880)
~FR NW EBISBN: 9782368908921 bzw. 2368908927, vermutlich in Französisch, neu, E-Book.
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Pendant vingt ans, Flaubert et frères Goncourt échangèrent des lettres extrêmement précieuses pour comprendre, certes, les ' créatures ' contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois. ' Qui révélera mieux que la lettre autographe la tête et le coeur de l'individu ? [... ] Seule la lettre autographe sera le confessionnal où vous entendrez le rêve de l'imagination de la créature, ses tristesses et ses gaîtés, ses fatigues et ses retours, ses défaillances et ses orgueils, SA lamentation et son inguérissable espoir. ' Par ces quelques lignes de la préface de leurs Portraits intimes du XVIIIe siècle les frères Goncourt, grands amateurs et collectionneurs d'autographes s'il en est, révèlent tout le prix qu'ils attachent aux correspondances. Et de fait, celle qu'ils échangèrent avec leur ami, maître et rival Flaubert au long d'une relation de vingt ans (1860-1880), se révèle, en écho et en opposition parfois à leur célèbre Journal, extrêmement précieuse pour comprendre, certes, les ' créatures ' contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois, artistes qui considéraient la littérature comme un véritable sacerdoce et se percevaient comme les derniers représentants d'un art ' pur ', sacré, à l'abri du mercantilisme et de la ' blague ' moderne : ' La pure littérature, le livre qu'un artiste fait pour se satisfaire, me semble un genre bien près de mourir. Je ne vois plus de véritables hommes de lettres, de sincères et honnêtes écrivains que Flaubert et nous ' (Journal, 9 août 1868). Cette correspondance est aussi éminemment instructive (et complète en cela de façon irremplaçable le Journal) pour la connaissance du champ littéraire sous le Second Empire et la compréhension des sociabilités d'écrivains, penseurs et artistes. Titre=Je commence déjà à être las de toutes les stupidités qui seront dites à l'occasion de ce livre - Cor;Date=17/06/2021;Nouveauté=Nouveauté;physicalBookISBN=9782368908914;linkToKoboProduct=https://www.kobo.com/ebook/je-commence-deja-a-etre-las-de-toute.
Pendant vingt ans, Flaubert et frères Goncourt échangèrent des lettres extrêmement précieuses pour comprendre, certes, les ' créatures ' contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois. ' Qui révélera mieux que la lettre autographe la tête et le coeur de l'individu ? [... ] Seule la lettre autographe sera le confessionnal où vous entendrez le rêve de l'imagination de la créature, ses tristesses et ses gaîtés, ses fatigues et ses retours, ses défaillances et ses orgueils, SA lamentation et son inguérissable espoir. ' Par ces quelques lignes de la préface de leurs Portraits intimes du XVIIIe siècle les frères Goncourt, grands amateurs et collectionneurs d'autographes s'il en est, révèlent tout le prix qu'ils attachent aux correspondances. Et de fait, celle qu'ils échangèrent avec leur ami, maître et rival Flaubert au long d'une relation de vingt ans (1860-1880), se révèle, en écho et en opposition parfois à leur célèbre Journal, extrêmement précieuse pour comprendre, certes, les ' créatures ' contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois, artistes qui considéraient la littérature comme un véritable sacerdoce et se percevaient comme les derniers représentants d'un art ' pur ', sacré, à l'abri du mercantilisme et de la ' blague ' moderne : ' La pure littérature, le livre qu'un artiste fait pour se satisfaire, me semble un genre bien près de mourir. Je ne vois plus de véritables hommes de lettres, de sincères et honnêtes écrivains que Flaubert et nous ' (Journal, 9 août 1868). Cette correspondance est aussi éminemment instructive (et complète en cela de façon irremplaçable le Journal) pour la connaissance du champ littéraire sous le Second Empire et la compréhension des sociabilités d'écrivains, penseurs et artistes. Titre=Je commence déjà à être las de toutes les stupidités qui seront dites à l'occasion de ce livre - Cor;Date=17/06/2021;Nouveauté=Nouveauté;physicalBookISBN=9782368908914;linkToKoboProduct=https://www.kobo.com/ebook/je-commence-deja-a-etre-las-de-toute.
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Je Commence Déjà À Être Las De Toutes Les Stupidités Qui Seront Dites À L'occasion De Ce Livre - Cor (1880)
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Pendant vingt ans, Flaubert et frères Goncourt échangèrent des lettres extrêmement précieuses pour comprendre, certes, les ' créatures ' contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois. ' Qui révélera mieux que la lettre autographe la tête et le coeur de l'individu ? [... ] Seule la lettre autographe sera le confessionnal où vous entendrez le rêve de l'imagination de la créature, ses tristesses et ses gaîtés, ses fatigues et ses retours, ses défaillances et ses orgueils, SA lamentation et son inguérissable espoir. ' Par ces quelques lignes de la préface de leurs Portraits intimes du XVIIIe siècle les frères Goncourt, grands amateurs et collectionneurs d'autographes s'il en est, révèlent tout le prix qu'ils attachent aux correspondances. Et de fait, celle qu'ils échangèrent avec leur ami, maître et rival Flaubert au long d'une relation de vingt ans (1860-1880), se révèle, en écho et en opposition parfois à leur célèbre Journal, extrêmement précieuse pour comprendre, certes, les ' créatures ' contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois, artistes qui considéraient la littérature comme un véritable sacerdoce et se percevaient comme les derniers représentants d'un art ' pur ', sacré, à l'abri du mercantilisme et de la ' blague ' moderne : ' La pure littérature, le livre qu'un artiste fait pour se satisfaire, me semble un genre bien près de mourir. Je ne vois plus de véritables hommes de lettres, de sincères et honnêtes écrivains que Flaubert et nous ' (Journal, 9 août 1868). Cette correspondance est aussi éminemment instructive (et complète en cela de façon irremplaçable le Journal) pour la connaissance du champ littéraire sous le Second Empire et la compréhension des sociabilités d'écrivains, penseurs et artistes. En-tête / Compatibilité=Liseuse;En-tête / Compatibilité=Android;En-tête / Compatibilité=iOS;En-tête / Compatibilité=PC;En-tête / Compatibilité=Windows;Livres / Langue=Français;Classification Decitre 1=Critique littéraire;Classification Decitre 2=Critiqu.
Pendant vingt ans, Flaubert et frères Goncourt échangèrent des lettres extrêmement précieuses pour comprendre, certes, les ' créatures ' contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois. ' Qui révélera mieux que la lettre autographe la tête et le coeur de l'individu ? [... ] Seule la lettre autographe sera le confessionnal où vous entendrez le rêve de l'imagination de la créature, ses tristesses et ses gaîtés, ses fatigues et ses retours, ses défaillances et ses orgueils, SA lamentation et son inguérissable espoir. ' Par ces quelques lignes de la préface de leurs Portraits intimes du XVIIIe siècle les frères Goncourt, grands amateurs et collectionneurs d'autographes s'il en est, révèlent tout le prix qu'ils attachent aux correspondances. Et de fait, celle qu'ils échangèrent avec leur ami, maître et rival Flaubert au long d'une relation de vingt ans (1860-1880), se révèle, en écho et en opposition parfois à leur célèbre Journal, extrêmement précieuse pour comprendre, certes, les ' créatures ' contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois, artistes qui considéraient la littérature comme un véritable sacerdoce et se percevaient comme les derniers représentants d'un art ' pur ', sacré, à l'abri du mercantilisme et de la ' blague ' moderne : ' La pure littérature, le livre qu'un artiste fait pour se satisfaire, me semble un genre bien près de mourir. Je ne vois plus de véritables hommes de lettres, de sincères et honnêtes écrivains que Flaubert et nous ' (Journal, 9 août 1868). Cette correspondance est aussi éminemment instructive (et complète en cela de façon irremplaçable le Journal) pour la connaissance du champ littéraire sous le Second Empire et la compréhension des sociabilités d'écrivains, penseurs et artistes. En-tête / Compatibilité=Liseuse;En-tête / Compatibilité=Android;En-tête / Compatibilité=iOS;En-tête / Compatibilité=PC;En-tête / Compatibilité=Windows;Livres / Langue=Français;Classification Decitre 1=Critique littéraire;Classification Decitre 2=Critiqu.
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Je commence déjà à être las toutes les stupidités qui seront dites à l'occasion ce livre - Cor (1880)
~FR NWISBN: 9782368908921 bzw. 2368908927, vermutlich in Französisch, le Passeur, neu.
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Pendant vingt ans, Flaubert et les frères Goncourt échangèrent des lettres extrêmement précieuses pour comprendre, certes, les " créatures " contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois. " Qui révélera mieux que la lettre autographe la tête et le cœur de l'individu ? [...] Seule la lettre autographe sera le confessionnal où vous entendrez le rêve de l'imagination de la créature, ses tristesses et ses gaîtés, ses fatigues et ses retours, ses défaillances et ses orgueils, SA lamentation et son inguérissable espoir. " Par ces quelques lignes de la préface de leurs Portraits intimes du XVIIIe siècle les frères Goncourt, grands amateurs et collectionneurs d'autographes s'il en est, révèlent tout le prix qu'ils attachent aux correspondances. Et de fait, celle qu'ils échangèrent avec leur ami, maître et rival Flaubert au long d'une relation de vingt ans (1860-1880), se révèle, en écho et en opposition parfois à leur célèbre Journal, extrêmement précieuse pour comprendre, certes, les " créatures " contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois, artistes qui considéraient la littérature comme un véritable sacerdoce et se percevaient comme les derniers représentants d'un art " pur ", sacré, à l'abri du mercantilisme et de la " blague " moderne : " La pure littérature, le livre qu'un artiste fait pour se satisfaire, me semble un genre bien près de mourir. Je ne vois plus de véritables hommes de lettres, de sincères et honnêtes écrivains que Flaubert et nous " ( Journal, 9 août 1868). Cette correspondance est aussi éminemment instructive (et complète en cela de façon irremplaçable le Journal) pour la connaissance du champ littéraire sous le Second Empire et la compréhension des sociabilités d'écrivains, penseurs et artistes. Pendant vingt ans, Flaubert et les frères Goncourt échangèrent des lettres extrêmement précieuses pour comprendre, certes, les " créatures " contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois. " Qui révélera mieux que la lettre autographe la tête et le cœur de l'individu ? [...] Seule la lettre autographe sera le confessionnal où vous entendrez le rêve de l'imagination de la créature, ses tristesses et ses gaîtés, ses fatigues et ses retours, ses défaillances et ses orgueils, sa lamentation et son inguérissable espoir. " Par ces quelques lignes de la préface de leurs Portraits intimes du XVIIIe siècle les frères Goncourt, grands amateurs et collectionneurs d'autographes s'il en est, révèlent tout le prix qu'ils attachent aux correspondances. Et de fait, celle qu'ils échangèrent avec leur ami, maître et rival Flaubert au long d'une relation de vingt ans (1860-1880), se révèle, en écho et en opposition parfois à leur célèbre Journal, extrêmement précieuse pour comprendre, certes, les " créatures " contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois, artistes qui considéraient la littérature comme un véritable sacerdoce et se percevaient comme les derniers représentants d'un art " pur ", sacré, à l'abri du mercantilisme et de la " blague " moderne : " La pure littérature, le livre qu'un artiste fait pour se satisfaire, me semble un genre bien près de mourir. Je ne vois plus de véritables hommes de lettres, de sincères et honnêtes écrivains que Flaubert et nous " ( Journal, 9 août 1868). Cette correspondance est aussi éminemment instructive (et complète en cela de façon irremplaçable le Journal) pour la connaissance du champ littéraire sous le Second Empire et la compréhension des sociabilités d'écrivains, penseurs et artistes. Inhoud:Taal: Franstalig;Bindwijze: E-book;Verschijningsdatum: juni 2021;Ebook formaat: Adobe ePub; Betrokkenen:Auteur(s): Gustave Flaubert | Edmond de Goncourt;Uitgever: le Passeur; Lees mogelijkheden:Lees dit ebook op: Desktop (Mac en Windows) | Kobo e-reader | Overige e-reader | Android (smartphone en tablet) | iOS (smartphone en tablet) | Windows (smartphone en tablet);Ebook formaat: Adobe ePub; EAN: Overige kenmerken:Studieboek: Nee; Franstalig | E-book | 9782368908921.
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Pendant vingt ans, Flaubert et les frères Goncourt échangèrent des lettres extrêmement précieuses pour comprendre, certes, les " créatures " contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois. " Qui révélera mieux que la lettre autographe la tête et le cœur de l'individu ? [...] Seule la lettre autographe sera le confessionnal où vous entendrez le rêve de l'imagination de la créature, ses tristesses et ses gaîtés, ses fatigues et ses retours, ses défaillances et ses orgueils, SA lamentation et son inguérissable espoir. " Par ces quelques lignes de la préface de leurs Portraits intimes du XVIIIe siècle les frères Goncourt, grands amateurs et collectionneurs d'autographes s'il en est, révèlent tout le prix qu'ils attachent aux correspondances. Et de fait, celle qu'ils échangèrent avec leur ami, maître et rival Flaubert au long d'une relation de vingt ans (1860-1880), se révèle, en écho et en opposition parfois à leur célèbre Journal, extrêmement précieuse pour comprendre, certes, les " créatures " contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois, artistes qui considéraient la littérature comme un véritable sacerdoce et se percevaient comme les derniers représentants d'un art " pur ", sacré, à l'abri du mercantilisme et de la " blague " moderne : " La pure littérature, le livre qu'un artiste fait pour se satisfaire, me semble un genre bien près de mourir. Je ne vois plus de véritables hommes de lettres, de sincères et honnêtes écrivains que Flaubert et nous " ( Journal, 9 août 1868). Cette correspondance est aussi éminemment instructive (et complète en cela de façon irremplaçable le Journal) pour la connaissance du champ littéraire sous le Second Empire et la compréhension des sociabilités d'écrivains, penseurs et artistes. Pendant vingt ans, Flaubert et les frères Goncourt échangèrent des lettres extrêmement précieuses pour comprendre, certes, les " créatures " contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois. " Qui révélera mieux que la lettre autographe la tête et le cœur de l'individu ? [...] Seule la lettre autographe sera le confessionnal où vous entendrez le rêve de l'imagination de la créature, ses tristesses et ses gaîtés, ses fatigues et ses retours, ses défaillances et ses orgueils, sa lamentation et son inguérissable espoir. " Par ces quelques lignes de la préface de leurs Portraits intimes du XVIIIe siècle les frères Goncourt, grands amateurs et collectionneurs d'autographes s'il en est, révèlent tout le prix qu'ils attachent aux correspondances. Et de fait, celle qu'ils échangèrent avec leur ami, maître et rival Flaubert au long d'une relation de vingt ans (1860-1880), se révèle, en écho et en opposition parfois à leur célèbre Journal, extrêmement précieuse pour comprendre, certes, les " créatures " contradictoires, changeantes et vulnérables, mais surtout les grands artistes qu'ils furent tous trois, artistes qui considéraient la littérature comme un véritable sacerdoce et se percevaient comme les derniers représentants d'un art " pur ", sacré, à l'abri du mercantilisme et de la " blague " moderne : " La pure littérature, le livre qu'un artiste fait pour se satisfaire, me semble un genre bien près de mourir. Je ne vois plus de véritables hommes de lettres, de sincères et honnêtes écrivains que Flaubert et nous " ( Journal, 9 août 1868). Cette correspondance est aussi éminemment instructive (et complète en cela de façon irremplaçable le Journal) pour la connaissance du champ littéraire sous le Second Empire et la compréhension des sociabilités d'écrivains, penseurs et artistes. Inhoud:Taal: Franstalig;Bindwijze: E-book;Verschijningsdatum: juni 2021;Ebook formaat: Adobe ePub; Betrokkenen:Auteur(s): Gustave Flaubert | Edmond de Goncourt;Uitgever: le Passeur; Lees mogelijkheden:Lees dit ebook op: Desktop (Mac en Windows) | Kobo e-reader | Overige e-reader | Android (smartphone en tablet) | iOS (smartphone en tablet) | Windows (smartphone en tablet);Ebook formaat: Adobe ePub; EAN: Overige kenmerken:Studieboek: Nee; Franstalig | E-book | 9782368908921.
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Je commence déjà à être las de toutes les stupidités qui seront dites à l'occasion de ce livre (2021)
~FR USISBN: 9782368908914 bzw. 2368908919, vermutlich in Französisch, LE PASSEUR, gebraucht, guter Zustand.
Von Händler/Antiquariat, medimops [55410863], Berlin, Germany.
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Je commence déjà à être las toutes les stupidités qui seront dites à l'occasion ce livre (Le passeur poche) (French Edition) (2021)
~FR USISBN: 9782368908914 bzw. 2368908919, vermutlich in Französisch, LE PASSEUR, gebraucht.
Von Händler/Antiquariat, BOOKIT! [82076540], Genève, Switzerland.
Livre neuf! Expédié sous 2 jours ouvrés, Books.
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Je commence déjà à être las toutes les stupidités qui seront dites à l`occasion ce livre: Correspondance (2021)
~FR PB USISBN: 9782368908914 bzw. 2368908919, vermutlich in Französisch, LE PASSEUR, Taschenbuch, gebraucht, akzeptabler Zustand.
Von Händler/Antiquariat, Buchpark [83435977], Trebbin, Germany.
293 Seiten Gepflegter, sauberer Zustand. 38311506/2 Taschenbuch, Größe: 11.2 x 1.6 x 18.2 cm, Books.
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Je commence déjà à être las de toutes les stupidités qui seront dites à l'occasion de ce livre: Correspondance (2021)
~FR PB USISBN: 2368908919 bzw. 9782368908914, vermutlich in Französisch, Taschenbuch, gebraucht, guter Zustand.
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