Von dem Buch 20 photographies: le paysage dans son ordinaire, l'incernable du bord des villes (Art & portfolios) haben wir 2 gleiche oder sehr ähnliche Ausgaben identifiziert!
Falls Sie nur an einem bestimmten Exempar interessiert sind, können Sie aus der folgenden Liste jenes wählen, an dem Sie interessiert sind:
100%: Alain Bonfand, Lukas Hoffmann: 20 photographies: le paysage dans son ordinaire, l'incernable du bord des villes (Art & portfolios) (ISBN: 9782814572393) 2009, publie.net, Erstausgabe, in Französisch, auch als eBook.Nur diese Ausgabe anzeigen…
96%: Alain Bonfand, Lukas Hoffmann: 20 photographies : le paysage dans son ordinaire, l'incernable du bord des villes (ISBN: 9782814552395) 2009, in Französisch, auch als eBook.Nur diese Ausgabe anzeigen…
20 photographies: le paysage dans son ordinaire, l'incernable du bord des villes (Art & portfolios)
3 Angebote vergleichen
1
20 photographies: le paysage dans son ordinaire, l'incernable du bord des villes (Art & portfolios) (2009)
FR NW FE EB DLISBN: 9782814572393 bzw. 2814572393, in Französisch, 50 Seiten, publie.net, neu, Erstausgabe, E-Book, elektronischer Download.
Lieferung aus: Deutschland, E-Book zum Download.
Je résume : là où l’on attend un mur, la paroi, le pan d’un édifice, s’impose l’édification du végétal, et le tronc du sapin est le pilier autour duquel ce mur vert s’organise, mais il est aussi le pilier qui tient l’image. Il travaille architectoniquement à l’intérieur de l’image, mais d’abord, avec et selon le cadre. Oui, au sens propre du mot il « tient » l’image. Le poteau d’angle en maçonnerie assure de son côté la délimitation du cadre (il me vient aussi à l’esprit qu’il donne étrangement une mesure, une échelle à ce qui est montré là, il est un élément d’architecture au sens réel du mot, au même titre qu’un immeuble le serait, et contribue à ce que s’impose dans l’image, cette paroi végétale, soit précisément si imposante). Par ailleurs, la partie droite de l’image, laissée vide, redouble le paradoxe : c’est le vide qui assume la solidité du cadre, et fait entrer et tenir cette paroi végétale dans l’image, en la tenant à la façon du cadre d’un tableau : mais là un seul bord suffit, à partir du moment où la verticalité est scandée par le tronc-pilier que j’évoquais. Il faut donc des fondations à cette image, et le trottoir et la barrière endossent ce rôle. Alain Bonfand (extrait) Parmi les mutations qu’Internet a produit OU provoqué, les plus profondes sont souvent les moins immédiatement perceptibles – dans le champ des arts, ce serait à la fois la mise en relation des travaux et la mise en tension de leurs échanges sans hiérarchisation de l’image et des textes qui voudraient s’en saisir. Les travaux de plasticiens non seulement deviennent facilement visibles, mais radicalement visibles, par expositions sur la Toile des évolutions de la démarche, des séries depuis le projet jusqu’à leur terme jamais finalement épuisé. À la fois galerie et atelier, c’est cette ouverture qui nous est donnée et qu’il nous faut, non plus seulement recevoir, mais penser. Ce qui est nécessaire en effet, c’est de refuser le cloisonnement ancien des pratiques – de mettre en relation le travail sur la langue et le travail plastique sur la matière. Le Net engage précisément une mise en relation des travaux sans se préoccuper ni de la nature intrinsèque de ceux-ci, ni de leur prétendue hiérarchie. Pictura et poesis donc, dans le même souci de s’emparer de l’un et de l’autre, et l’un par l’autre, non pas pour réduire et annuler leurs spécificités, mais pour interroger les pratiques, faire circuler les énergies, produire des relations par flux d’intensités... , Kindle Edition, Ausgabe: 1, Format: Kindle eBook, Label: publie.net, publie.net, Produktgruppe: eBooks, Publiziert: 2009-09-21, Freigegeben: 2009-09-21, Studio: publie.net.
Je résume : là où l’on attend un mur, la paroi, le pan d’un édifice, s’impose l’édification du végétal, et le tronc du sapin est le pilier autour duquel ce mur vert s’organise, mais il est aussi le pilier qui tient l’image. Il travaille architectoniquement à l’intérieur de l’image, mais d’abord, avec et selon le cadre. Oui, au sens propre du mot il « tient » l’image. Le poteau d’angle en maçonnerie assure de son côté la délimitation du cadre (il me vient aussi à l’esprit qu’il donne étrangement une mesure, une échelle à ce qui est montré là, il est un élément d’architecture au sens réel du mot, au même titre qu’un immeuble le serait, et contribue à ce que s’impose dans l’image, cette paroi végétale, soit précisément si imposante). Par ailleurs, la partie droite de l’image, laissée vide, redouble le paradoxe : c’est le vide qui assume la solidité du cadre, et fait entrer et tenir cette paroi végétale dans l’image, en la tenant à la façon du cadre d’un tableau : mais là un seul bord suffit, à partir du moment où la verticalité est scandée par le tronc-pilier que j’évoquais. Il faut donc des fondations à cette image, et le trottoir et la barrière endossent ce rôle. Alain Bonfand (extrait) Parmi les mutations qu’Internet a produit OU provoqué, les plus profondes sont souvent les moins immédiatement perceptibles – dans le champ des arts, ce serait à la fois la mise en relation des travaux et la mise en tension de leurs échanges sans hiérarchisation de l’image et des textes qui voudraient s’en saisir. Les travaux de plasticiens non seulement deviennent facilement visibles, mais radicalement visibles, par expositions sur la Toile des évolutions de la démarche, des séries depuis le projet jusqu’à leur terme jamais finalement épuisé. À la fois galerie et atelier, c’est cette ouverture qui nous est donnée et qu’il nous faut, non plus seulement recevoir, mais penser. Ce qui est nécessaire en effet, c’est de refuser le cloisonnement ancien des pratiques – de mettre en relation le travail sur la langue et le travail plastique sur la matière. Le Net engage précisément une mise en relation des travaux sans se préoccuper ni de la nature intrinsèque de ceux-ci, ni de leur prétendue hiérarchie. Pictura et poesis donc, dans le même souci de s’emparer de l’un et de l’autre, et l’un par l’autre, non pas pour réduire et annuler leurs spécificités, mais pour interroger les pratiques, faire circuler les énergies, produire des relations par flux d’intensités... , Kindle Edition, Ausgabe: 1, Format: Kindle eBook, Label: publie.net, publie.net, Produktgruppe: eBooks, Publiziert: 2009-09-21, Freigegeben: 2009-09-21, Studio: publie.net.
2
20 photographies (2009)
FR NW EB DLISBN: 9782814552395 bzw. 2814552392, in Französisch, publie.net, publie.net, publie.net, neu, E-Book, elektronischer Download.
Lieferung aus: Frankreich, in-stock.
Je résume: là où l'on attend un mur, la paroi, le pan d'un édifice, s'impose l'édification du végétal, et le tronc du sapin est le pilier autour duquel ce mur vert s'organise, mais il est aussi le pilier qui tient l'image. Il travaille architectoniquement à l'intérieur de l'image, mais d'abord, avec et selon le cadre. Oui, au sens propre du mot il tient l'image. Le poteau d'angle en maçonnerie assure de son côté la délimitation du cadre (il me vient aussi à l'esprit qu'il donne étrangement une mesure, une échelle à ce qui est montré là, il est un élément d'architecture au sens réel du mot, au même titre qu'un immeuble le serait, et contribue à ce que s'impose dans l'image, cette paroi végétale, soit précisément si imposante). Par ailleurs, la partie droite de l'image, laissée vide, redouble le paradoxe: c'est le vide qui assume la solidité du cadre, et fait entrer et tenir cette paroi végétale dans l'image, en la tenant à la façon du cadre d'un tableau: mais là un seul bord suffit, à partir du moment où la verticalité est scandée par le tronc-pilier que j'évoquais. Il faut donc des fondations à cette image, et le trottoir et la barrière endossent ce rôle. Alain Bonfand (extrait) Parmi les mutations qu'Internet a produit OU provoqué, les plus profondes sont souvent les moins immédiatement perceptibles - dans le champ des arts, ce serait à la fois la mise en relation des travaux et la mise en tension de leurs échanges sans hiérarchisation de l'image et des textes qui voudraient s'en saisir. Les travaux de plasticiens non seulement deviennent facilement visibles, mais radicalement visibles, par expositions sur la Toile des évolutions de la démarche, des séries depuis le projet jusqu'à leur terme jamais finalement épuisé. À la fois galerie et atelier, c'est cette ouverture qui nous est donnée et qu'il nous faut, non plus seulement recevoir, mais penser. Ce qui est nécessaire en effet, c'est de refuser le cloisonnement ancien des pratiques - de mettre en relatio.
Je résume: là où l'on attend un mur, la paroi, le pan d'un édifice, s'impose l'édification du végétal, et le tronc du sapin est le pilier autour duquel ce mur vert s'organise, mais il est aussi le pilier qui tient l'image. Il travaille architectoniquement à l'intérieur de l'image, mais d'abord, avec et selon le cadre. Oui, au sens propre du mot il tient l'image. Le poteau d'angle en maçonnerie assure de son côté la délimitation du cadre (il me vient aussi à l'esprit qu'il donne étrangement une mesure, une échelle à ce qui est montré là, il est un élément d'architecture au sens réel du mot, au même titre qu'un immeuble le serait, et contribue à ce que s'impose dans l'image, cette paroi végétale, soit précisément si imposante). Par ailleurs, la partie droite de l'image, laissée vide, redouble le paradoxe: c'est le vide qui assume la solidité du cadre, et fait entrer et tenir cette paroi végétale dans l'image, en la tenant à la façon du cadre d'un tableau: mais là un seul bord suffit, à partir du moment où la verticalité est scandée par le tronc-pilier que j'évoquais. Il faut donc des fondations à cette image, et le trottoir et la barrière endossent ce rôle. Alain Bonfand (extrait) Parmi les mutations qu'Internet a produit OU provoqué, les plus profondes sont souvent les moins immédiatement perceptibles - dans le champ des arts, ce serait à la fois la mise en relation des travaux et la mise en tension de leurs échanges sans hiérarchisation de l'image et des textes qui voudraient s'en saisir. Les travaux de plasticiens non seulement deviennent facilement visibles, mais radicalement visibles, par expositions sur la Toile des évolutions de la démarche, des séries depuis le projet jusqu'à leur terme jamais finalement épuisé. À la fois galerie et atelier, c'est cette ouverture qui nous est donnée et qu'il nous faut, non plus seulement recevoir, mais penser. Ce qui est nécessaire en effet, c'est de refuser le cloisonnement ancien des pratiques - de mettre en relatio.
3
Symbolbild
20 photographies : le paysage dans son ordinaire, l'incernable du bord des villes
FR NW EBISBN: 9782814552395 bzw. 2814552392, in Französisch, publie.net, neu, E-Book.
Lieferung aus: Vereinigte Staaten von Amerika, En Stock.
Die Beschreibung dieses Angebotes ist von geringer Qualität oder in einer Fremdsprache. Trotzdem anzeigen
Die Beschreibung dieses Angebotes ist von geringer Qualität oder in einer Fremdsprache. Trotzdem anzeigen
Lade…