Gwen, princesse d'Orient Author - 2 Angebote vergleichen
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Gwen, princesse d'Orient Delly Author
~FR NW EB DL
ISBN: 9782714902344 bzw. 2714902340, vermutlich in Französisch, Raanan Editeur, neu, E-Book, elektronischer Download.
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Extrait| ILa résidence des rajahs de Pavala, à Bornéo, se composait de plusieurs palais, construits au milieu de jardins magnifiques et reliés entre eux par de longues galeries de marbre blanc. Ils avaient chacun leur nom.Celui de SA Hautesse Han-Kaï s’appelait le palais de la Lumière Heureuse. SA Hautesse Han-Kaï, jeune rajah de Pavala, portait, en France, le nom du vicomte Dougual de Penanscoët. Il était, en effet, le fils du comte Ivor de Penanscoët, dont la résidence personnelle était connue sous le nom de palais du Dragon d’Or. Comment ces Bretons se trouvaient-ils à la tête de cet État hindou ? De tout temps, les membres de la famille de Penanscoët, dont l’origine était perdue dans les brumes de la légende, avaient aimé les aventures lointaines d’où ils revenaient bien souvent pervertis par l’or et les plaisirs. Ne faisant pas exception à cette tradition familiale, les deux frères Ivor et Riec quittèrent très jeunes le domaine de Kermazenc – cadeau du duc de Bretagne à un de leurs lointains ancêtres – pour courir le monde. On apprit, un jour, qu’après mille mésaventures ils avaient épousé deux sœurs, filles d’un maharajah. Mais, tandis que Riec mourait l’année suivante, suivi peu après dans la tombe par SA femme, Ivor avait été désigné par le rajah de Pavala pour lui succéder. Et c’est ainsi qu’il était devenu un puissant despote oriental.Il était resté de longues années sans revenir en France, mais s’était tout de même décidé à aller passer un été dans son château de Kermazenc. Il était accompagné dans ce voyage de sa femme Nouhourmal, de son fils Dougual, de son confident, un brahmane nommé Appadjy, et de ses nombreux domestiques indigènes, hindous, malais et chinois. Il avait donné des fêtes somptueuses, dignes d’un potentat d’Orient, transportant pour une nuit ses invités bretons dans les féeries des Mille et une Nuits. Depuis peu, il était de retour à Palava. Son fils l’avait précédé de quelques jours.Cet après-midi, il travaillait dans une salle fraîche et parfumée en compagnie de son fidèle Appadjy et d’un secrétaire à qui il dictait du courrier, quand Dougual entra. D’un geste, Ivor congédia le secrétaire. Restés seuls, le comte, son fils et le brahmane s’entretinrent, en prenant le thé, de quelques faits de politique générale qui, à ce moment, occupaient l’Europe. M. de Penanscoët les ramenaient à sa grande préoccupation : une organisation secrète, formidable, du monde asiatique...|.
Extrait| ILa résidence des rajahs de Pavala, à Bornéo, se composait de plusieurs palais, construits au milieu de jardins magnifiques et reliés entre eux par de longues galeries de marbre blanc. Ils avaient chacun leur nom.Celui de SA Hautesse Han-Kaï s’appelait le palais de la Lumière Heureuse. SA Hautesse Han-Kaï, jeune rajah de Pavala, portait, en France, le nom du vicomte Dougual de Penanscoët. Il était, en effet, le fils du comte Ivor de Penanscoët, dont la résidence personnelle était connue sous le nom de palais du Dragon d’Or. Comment ces Bretons se trouvaient-ils à la tête de cet État hindou ? De tout temps, les membres de la famille de Penanscoët, dont l’origine était perdue dans les brumes de la légende, avaient aimé les aventures lointaines d’où ils revenaient bien souvent pervertis par l’or et les plaisirs. Ne faisant pas exception à cette tradition familiale, les deux frères Ivor et Riec quittèrent très jeunes le domaine de Kermazenc – cadeau du duc de Bretagne à un de leurs lointains ancêtres – pour courir le monde. On apprit, un jour, qu’après mille mésaventures ils avaient épousé deux sœurs, filles d’un maharajah. Mais, tandis que Riec mourait l’année suivante, suivi peu après dans la tombe par SA femme, Ivor avait été désigné par le rajah de Pavala pour lui succéder. Et c’est ainsi qu’il était devenu un puissant despote oriental.Il était resté de longues années sans revenir en France, mais s’était tout de même décidé à aller passer un été dans son château de Kermazenc. Il était accompagné dans ce voyage de sa femme Nouhourmal, de son fils Dougual, de son confident, un brahmane nommé Appadjy, et de ses nombreux domestiques indigènes, hindous, malais et chinois. Il avait donné des fêtes somptueuses, dignes d’un potentat d’Orient, transportant pour une nuit ses invités bretons dans les féeries des Mille et une Nuits. Depuis peu, il était de retour à Palava. Son fils l’avait précédé de quelques jours.Cet après-midi, il travaillait dans une salle fraîche et parfumée en compagnie de son fidèle Appadjy et d’un secrétaire à qui il dictait du courrier, quand Dougual entra. D’un geste, Ivor congédia le secrétaire. Restés seuls, le comte, son fils et le brahmane s’entretinrent, en prenant le thé, de quelques faits de politique générale qui, à ce moment, occupaient l’Europe. M. de Penanscoët les ramenaient à sa grande préoccupation : une organisation secrète, formidable, du monde asiatique...|.
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Gwen, princesse dOrient
FR NW EB DL
ISBN: 9782714902344 bzw. 2714902340, in Französisch, Raanan Editeur, neu, E-Book, elektronischer Download.
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Gwen, princesse dOrient: Extrait | I La ré sidence des rajahs de Pavala, à Borné o, se composait de plusieurs palais, construits au milieu de jardins magnifiques et relié s entre eux par de longues galeries de marbre blanc. Ils avaient chacun leur nom. Celui de SA Hautesse Han-Kaï s&rsquo appelait le palais de la Lumiè re Heureuse. SA Hautesse Han-Kaï , jeune rajah de Pavala, portait, en France, le nom du vicomte Dougual de Penanscoë t. Il é tait, en effet, le fils du comte Ivor de Penanscoë t, dont la ré sidence personnelle é tait connue sous le nom de palais du Dragon d&rsquo Or. Comment ces Bretons se trouvaient-ils à la tê te de cet É tat hindou  De tout temps, les membres de la famille de Penanscoë t, dont l&rsquo origine é tait perdue dans les brumes de la lé gende, avaient aimé les aventures lointaines d&rsquo où ils revenaient bien souvent pervertis par l&rsquo or et les plaisirs. Ne faisant pas exception à cette tradition familiale, les deux frè res Ivor et Riec quittè rent trè s jeunes le domaine de Kermazenc &ndash cadeau du duc de Bretagne à un de leurs lointains ancê tres &ndash pour courir le monde. On apprit, un jour, qu&rsquo aprè s mille mé saventures ils avaient é pousé deux s&oelig urs, filles d&rsquo un maharajah. Mais, tandis que Riec mourait l&rsquo anné e suivante, suivi peu aprè s dans la tombe par SA femme, Ivor avait é té dé signé par le rajah de Pavala pour lui succé der. Et c&rsquo est ainsi qu&rsquo il é tait devenu un puissant despote oriental. Il é tait resté de longues anné es sans revenir en France, mais s&rsquo é tait tout de mê me dé cidé à aller passer un é té dans son châ teau de Kermazenc. Il é tait accompagné dans ce voyage de sa femme Nouhourmal, de son fils Dougual, de son confident, un brahmane nommé Appadjy, et de ses nombreux domestiques indigè nes, hindous, malais et chinois. Il avait donné des fê tes somptueuses, dignes d&rsquo un potentat d&rsquo Orient, transportant pour une nuit ses invité s bretons dans les fé eries des Mille et une Nuits. Depuis peu, il é tait de retour à Palava. Son fils l&rsquo avait pré cé dé de quelques jours. Cet aprè s-midi, il travaillait dans une salle fraî che et parfumé e en compagnie de son fidè le Appadjy et d&rsquo un secré taire à qui il dictait du courrier, quand Dougual entra. D&rsquo un geste, Ivor congé dia le secré taire. Resté s seuls, le comte, son fils et le brahmane s&rsquo entretinrent, en prenant le thé , de quelques faits de politique gé né rale qui, à ce moment, occupaient l&rsquo Europe. M. de Penanscoë t les ramenaient à sa grande pré occupation  : une organisation secrè te, formidable, du monde asiatique...|, Ebook.
Gwen, princesse dOrient: Extrait | I La ré sidence des rajahs de Pavala, à Borné o, se composait de plusieurs palais, construits au milieu de jardins magnifiques et relié s entre eux par de longues galeries de marbre blanc. Ils avaient chacun leur nom. Celui de SA Hautesse Han-Kaï s&rsquo appelait le palais de la Lumiè re Heureuse. SA Hautesse Han-Kaï , jeune rajah de Pavala, portait, en France, le nom du vicomte Dougual de Penanscoë t. Il é tait, en effet, le fils du comte Ivor de Penanscoë t, dont la ré sidence personnelle é tait connue sous le nom de palais du Dragon d&rsquo Or. Comment ces Bretons se trouvaient-ils à la tê te de cet É tat hindou  De tout temps, les membres de la famille de Penanscoë t, dont l&rsquo origine é tait perdue dans les brumes de la lé gende, avaient aimé les aventures lointaines d&rsquo où ils revenaient bien souvent pervertis par l&rsquo or et les plaisirs. Ne faisant pas exception à cette tradition familiale, les deux frè res Ivor et Riec quittè rent trè s jeunes le domaine de Kermazenc &ndash cadeau du duc de Bretagne à un de leurs lointains ancê tres &ndash pour courir le monde. On apprit, un jour, qu&rsquo aprè s mille mé saventures ils avaient é pousé deux s&oelig urs, filles d&rsquo un maharajah. Mais, tandis que Riec mourait l&rsquo anné e suivante, suivi peu aprè s dans la tombe par SA femme, Ivor avait é té dé signé par le rajah de Pavala pour lui succé der. Et c&rsquo est ainsi qu&rsquo il é tait devenu un puissant despote oriental. Il é tait resté de longues anné es sans revenir en France, mais s&rsquo é tait tout de mê me dé cidé à aller passer un é té dans son châ teau de Kermazenc. Il é tait accompagné dans ce voyage de sa femme Nouhourmal, de son fils Dougual, de son confident, un brahmane nommé Appadjy, et de ses nombreux domestiques indigè nes, hindous, malais et chinois. Il avait donné des fê tes somptueuses, dignes d&rsquo un potentat d&rsquo Orient, transportant pour une nuit ses invité s bretons dans les fé eries des Mille et une Nuits. Depuis peu, il é tait de retour à Palava. Son fils l&rsquo avait pré cé dé de quelques jours. Cet aprè s-midi, il travaillait dans une salle fraî che et parfumé e en compagnie de son fidè le Appadjy et d&rsquo un secré taire à qui il dictait du courrier, quand Dougual entra. D&rsquo un geste, Ivor congé dia le secré taire. Resté s seuls, le comte, son fils et le brahmane s&rsquo entretinrent, en prenant le thé , de quelques faits de politique gé né rale qui, à ce moment, occupaient l&rsquo Europe. M. de Penanscoë t les ramenaient à sa grande pré occupation  : une organisation secrè te, formidable, du monde asiatique...|, Ebook.
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